Aujourd’hui, le métier de prothésiste ongulaire est très recherché. Notamment des techniques innovantes de ce métier. Ce métier est particulièrement apprécie dans le cadre d’une reconversion professionnelle en raison de sa facilité d’accès. Mes Allocs vous explique quels sont les parcours à suivre pour obtenir un diplôme en onglerie.
Le métier de prothésiste ongulaire ne nécessite pas de diplôme en particulier. D’ailleurs, il n’y a pas de diplôme reconnu par l’État à l’heure actuelle. Vous pouvez exercer ce métier après un Bac Pro par exemple.
En revanche, pour acquérir toutes les techniques et faire reconnaitre votre travail, il est recommandé de suivre une formation. Cela peut être une formation de quelques jours, semaines, à quelques mois pour une formation plus poussée.
Les tarifs des formations sont variables de 300 à 4000 euros en moyenne. Selon vos disponibilités, il est possible de choisir cette formation en alternance pour pouvoir continuer à exercer votre activité professionnelle en parallèle.
Les CAP sont reconnus par l’État, c’est pourquoi, suivre cette voie est recommandée :
Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, il est possible de devenir prothésiste ongulaire par la voie de la formation continue en préparant :
Si vous souhaitez exercer ce métier, vous devrez posséder un certain nombre de qualité. Notamment indispensable pour développer une clientèle fidèle.
En tant que prothésiste ongulaire, vous devrez répondre aux attentes de vos clients et faire preuve de créativité. Ainsi, vous devrez connaitre les missions de bases, à savoir :
Le métier de prothésiste ongulaire est en pleine expansion en France. Les techniques mains et des pieds sont très recherchés. Notamment la pose de faux ongles, pose de vernis, frenchs manucures, etc.
Ce qui caractérise ce métier est également sa facilité d’accès. Il n’y a pas de diplôme nécessaire pour exercer ce métier. En revanche il est tout de même recommandé de suivre une formation comme le CAP esthétique.
Si vous souhaitez travailler dans un bar à ongles ou bien un institut de beauté des mains, dans ce cas, votre employeur peut vous demander un diplôme pour devenir salarié.
À noter : Ce métier est particulièrement apprécié dans le cadre d’une reconversion professionnelle du fait de sa facilité d’accès.
Les personnes qui souhaitent ouvrir son propre compte peuvent tout à fait réussir. En revanche, les démarches administratives, ainsi que la comptabilité à maintenir sont particulièrement pesantes.
De plus ce métier n’est pas réglementé, surtout concernant l’achat du matériel professionnel.
En moyenne, une prothésiste ongulaire peut prétendre à un salaire de 2000 à 2200 euros brut par mois. En revanche, en début de carrière il est compris entre le SMIC et 1500 euros.
Plus la maitrise du métier est élevée, plus la rémunération peut s’avérer intéressante.
En plus du salaire de base proposé par votre employeur, vous pouvez généralement compter sur les pourboires des clients, mais vous devez réaliser un sens du contact.
En général, une évolution de ce métier implique de créer son propre salon ongulaire. Pour gagner en clientèle, il est également possible de diversifier son activité. Notamment par la pose d’extension de cils, rajout capillaire, etc.
Dans ce cas il est possible de travailler dans un salon de coiffure et jongler entre ces deux professions.
À noter : diversifier son activité ne signifie pas prodiguer des traitements médicaux à ses clients.
On estime le salaire moyen d’un prothésiste ongulaire entre 1400€ et 1600€, en début de carrière.
Pour exercer ce métier, vous devez faire de preuve de certaines qualités. À savoir : La rigueur et la minutie Le sens créatif et artistique L'habileté manuelle La propreté Le sens du contact.
Le/la prothésiste ongulaire est un spécialiste de la beauté des ongles. Il conseille sa clientèle et lui propose des produits en fonction de son besoin.
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CAP esthétique-cosmétique-parfumerie. Bac pro esthétique. BTS esthétique. Bachelor esthétique.
Le bilan de compétences se fait à votre initiative lorsque vous ressentez le besoin de faire un point dans votre carrière.
Si vous avez entre 16 et 25 ans et que vous êtes sans diplôme, ou alors si vous avez un CAP ou un BEP et que vous êtes sans emploi depuis plus de 6 mois, vous pouvez signer un emploi d'avenir. Le contrat emploi d'avenir est un CDI ou un CDD de 1 à 3 ans, à temps plein (35 h par semaine).